La période des renégociations de crédit a mis en avant le métier de courtier en crédit immobilier et en assurance emprunteur. Les courtiers sont devenus des acteurs importants du marché de l’immobilier.
Un sondage commandé par un acteur Français du courtage montre que les courtiers sont en première ligne dans les démarches de recherche de financement. La profession s’est considérablement réglementée : devoir de conseil, signature de mandat de recherche de capitaux, confirmation de mandat, obligation de conseil. Le métier de courtier est particulièrement encadré par la loi numéro 2010-1249 du 22 octobre 2010, article 36, l’article R 519-4 du code monétaire et financier (décret numéro 2012-101 du 26 janvier 2012) et l’ordonnance 2016-351 du 25 mars 2016.
Le courtier se doit d’être un expert et un allié du candidat emprunteur. Il doit chercher les sources d’économie au niveau des taux de prêt, mais également au niveau des assurances, sans dégrader le niveau des garanties proposées.
Dans le cadre d’un sondage réalisé sur 1001 personnes, entre le 2 et le 5 octobre 2017 par l’institut Ifop, 15% des sondés ignorent l’existence de ce métier. En juin 2016, ils étaient 16%, et en juin 2015, 21%. Le panel interrogé fait état de 85% de personnes connaissant cette profession. Pour plus de la moitié d’entre eux, 88% estiment qu’un courtier permet de gagner du temps, 87% se sentent accompagnés par un expert et 71% se voient réaliser des économies.
L’ambition, à moyen terme, est de doubler la part de marché du crédit immobilier gérée par les courtiers, c’est à dire d’être acteur dans plus de 60% des transactions immobilières réalisées à crédit.
Grâce à nos dernières évolutions en matière de formation et d’accompagnement de nos collaborateurs, Court’ea CRÉDITS participe pleinement à cet objectif ambitieux.